Vos argents provenants des impôts au travail #2: L'iTax d'échange
Le « partage de fichiers » est une limite qui a écrit le vocabulaire populaire il y a environ 10 ans pour mettre une bonne » feel good spin « sur le comportement qui était non autorisé au mieux.
Toutefois vous vous sentez au sujet de la limite et du comportement qu'elle décrit, des réseaux de « partage de fichiers » clairement sont prévus pour l'échange de la musique, film, livres, illustrations, photographies, textes de chanson, pointe, quoi que--« a déchiré » à l'origine d'un dispositif légitime qui permet la « déchirure ».
Les réseaux de « partage de fichiers » augmentent dans la popularité avec un inventaire régulier des dossiers étant rendus disponibles pour « partager. » Ceci signifie qu'un réseau de « partage de fichiers » est vraiment un marché dans lequel les « détenteurs de dossier » viennent « partager » des dossiers, signifiant qu'ils téléchargent uns et téléchargent uns. Ceci est également connu en tant que « échange ». (Quoique sur un marché noir, mais ce n'est pas une issue d'impôts.)
Ceux qui emploient le terme « partage de fichiers » typiquement obtiennent nerveux quand vous commencez à l'appeler « dossier échangeant ».
Le « échange » ressemble à des perles marchandes pour Manhattan, échange ressemble à de quelque chose commerciale, quelque chose où chaque côté obtient quelque chose pour l'échange d'autre chose (également connu sous le nom de considération), « échange » bruit-oh, je ne savent pas… imposable.
Le Gouverneur David Patterson de New York a inclus un taxe de vente 4 de pour cent sur les marchandises numériques à son budget de l'État. L'impôt est sur la musique, les sonneries, les films, les livres, les photographies, et les jeux téléchargés, entre d'autres articles en ligne. Ressemble à de la même substance qu'est commercé sur les réseaux l'échange de dossier, oui ?
Comme Mark McKinnon récemment remarquable dans un morceau sur iTax du Patterson du Gouverneur le « Ajoutez un impôt au broccoli, et vous vendrez moins de broccoli ; il n'y a aucun marché exempt d'impôt commode et souterrain de broccoli. Mais ajoutez un impôt aux marchandises numériques, et vous ne découragerez pas simplement la consommation des téléchargements légaux ; vous pousserez des personnes dans la direction de l'alternative facile et libre : dossier-partage illégal. »
C'est, naturellement, exactement correct. À moins qu'il ait y eu un impôt de équilibrage sur le marché souterrain de broccoli. Je proposerais au gouverneur que s'il veut gagner le vrai argent, il ait besoin des réseaux de échange de dossier fiscal opérant dans l'état de New-York sur la valeur marchande juste ($1.29) de chacun des dossiers numériques étant échangés.
Les réseaux de échange de dossier peuvent choisir de transmettre l'impôt à leurs utilisateurs s'ils aiment. Un impôt d'échange n'exige aucun procès au sujet de la violation des droits d'auteur.
Si l'utilisateur A a les droits aux perles ils commercent pour l'île possédée par User B, ou si l'utilisateur B possède l'île elle commerce à l'utilisateur qu'A est sans importation. C'est entre l'utilisateur A et l'utilisateur B à figurer dehors, probablement avec l'aide du propriétaire légal des perles.
L'état transforme peu d'enquête en qui tient le titre approprié sur tout ce qu'il impose. Quand ils vous chargent l'impôt de stationnement, ils ne demandent pas si vous posséder la voiture. L'état peut encore imposer le bénéficiaire de la transaction-le recevant l'utilisateur qui a passé l'île, c.-à-d., le déchargeur dans ce cas-ci. Pour ce qui monte, doit descendre. Il est facile trouver quelques réseaux de échange de dossier.
L'agent du DMCA de Limewire est :
Lime Wire LLC
377 Broadway Fl. 10
New York , NY
10013
Les gens d'application d'impôts peuvent prendre probablement soin de ce problème sans trop d'ennui. Et si les réseaux de échange can' de dossier ; t soit trouvé par les investigateurs professionnels d'application d'impôts, je devinent they' ; d doivent empêcher d'entrer un oeil pour les propriétaires s'ils traversent jamais--ou peut-être plus de--New York.
Hormis les extériorités créées par l'iTax qui marquent des notes de McKinnon correctement, le gouverneur devrait aller pour le vrai argent et peut-être le faire un certain bien dans le processus.
Et laissez-nous reconnaissent pour une fois ce qui continue vraiment--échanges de biens dans le rassemblement d'échange colossal.
Toutefois vous vous sentez au sujet de la limite et du comportement qu'elle décrit, des réseaux de « partage de fichiers » clairement sont prévus pour l'échange de la musique, film, livres, illustrations, photographies, textes de chanson, pointe, quoi que--« a déchiré » à l'origine d'un dispositif légitime qui permet la « déchirure ».
Les réseaux de « partage de fichiers » augmentent dans la popularité avec un inventaire régulier des dossiers étant rendus disponibles pour « partager. » Ceci signifie qu'un réseau de « partage de fichiers » est vraiment un marché dans lequel les « détenteurs de dossier » viennent « partager » des dossiers, signifiant qu'ils téléchargent uns et téléchargent uns. Ceci est également connu en tant que « échange ». (Quoique sur un marché noir, mais ce n'est pas une issue d'impôts.)
Ceux qui emploient le terme « partage de fichiers » typiquement obtiennent nerveux quand vous commencez à l'appeler « dossier échangeant ».
Le « échange » ressemble à des perles marchandes pour Manhattan, échange ressemble à de quelque chose commerciale, quelque chose où chaque côté obtient quelque chose pour l'échange d'autre chose (également connu sous le nom de considération), « échange » bruit-oh, je ne savent pas… imposable.
Le Gouverneur David Patterson de New York a inclus un taxe de vente 4 de pour cent sur les marchandises numériques à son budget de l'État. L'impôt est sur la musique, les sonneries, les films, les livres, les photographies, et les jeux téléchargés, entre d'autres articles en ligne. Ressemble à de la même substance qu'est commercé sur les réseaux l'échange de dossier, oui ?
Comme Mark McKinnon récemment remarquable dans un morceau sur iTax du Patterson du Gouverneur le « Ajoutez un impôt au broccoli, et vous vendrez moins de broccoli ; il n'y a aucun marché exempt d'impôt commode et souterrain de broccoli. Mais ajoutez un impôt aux marchandises numériques, et vous ne découragerez pas simplement la consommation des téléchargements légaux ; vous pousserez des personnes dans la direction de l'alternative facile et libre : dossier-partage illégal. »
C'est, naturellement, exactement correct. À moins qu'il ait y eu un impôt de équilibrage sur le marché souterrain de broccoli. Je proposerais au gouverneur que s'il veut gagner le vrai argent, il ait besoin des réseaux de échange de dossier fiscal opérant dans l'état de New-York sur la valeur marchande juste ($1.29) de chacun des dossiers numériques étant échangés.
Les réseaux de échange de dossier peuvent choisir de transmettre l'impôt à leurs utilisateurs s'ils aiment. Un impôt d'échange n'exige aucun procès au sujet de la violation des droits d'auteur.
Si l'utilisateur A a les droits aux perles ils commercent pour l'île possédée par User B, ou si l'utilisateur B possède l'île elle commerce à l'utilisateur qu'A est sans importation. C'est entre l'utilisateur A et l'utilisateur B à figurer dehors, probablement avec l'aide du propriétaire légal des perles.
L'état transforme peu d'enquête en qui tient le titre approprié sur tout ce qu'il impose. Quand ils vous chargent l'impôt de stationnement, ils ne demandent pas si vous posséder la voiture. L'état peut encore imposer le bénéficiaire de la transaction-le recevant l'utilisateur qui a passé l'île, c.-à-d., le déchargeur dans ce cas-ci. Pour ce qui monte, doit descendre. Il est facile trouver quelques réseaux de échange de dossier.
L'agent du DMCA de Limewire est :
Lime Wire LLC
377 Broadway Fl. 10
Les gens d'application d'impôts peuvent prendre probablement soin de ce problème sans trop d'ennui. Et si les réseaux de échange can' de dossier ; t soit trouvé par les investigateurs professionnels d'application d'impôts, je devinent they' ; d doivent empêcher d'entrer un oeil pour les propriétaires s'ils traversent jamais--ou peut-être plus de--New York.
Hormis les extériorités créées par l'iTax qui marquent des notes de McKinnon correctement, le gouverneur devrait aller pour le vrai argent et peut-être le faire un certain bien dans le processus.
Et laissez-nous reconnaissent pour une fois ce qui continue vraiment--échanges de biens dans le rassemblement d'échange colossal.
Labels: barter, david patterson, digital tax, file sharing, itax, mark mckinnon, sales tax
posted by Chris Castle at
6:58 AM
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